Clémence « LAristocrate » Le Fantasme Des Inconnus ! (Partie 5)
En effet, je nen avais pas fini. Après la punition que je reçu par mon mari Pierre-Louis, je ne pensais pas être une nouvelle fois humiliée pour la faute que javais commise. Je ne pensais quà une seule chose, cétait de revivre une aventure avec Boris qui mavait subjuguée et apportée beaucoup de jouissance. Je le savais pervers et pas très honnête avec moi, mais je ne pouvais le sortir de mes pensées, néanmoins javais très peur de devenir sa chose. Les dix jours sans le voir me parurent très long, je fus si bien avec lui mais dun autre côté, je savais que je ne devais pas mattacher à lui car comme cétait parti, cet homme pouvait faire nimporte quoi de moi. Cependant, jacceptai son rendez-vous.
Ce jour-là, comme Pierre-Louis me lavais demandé, je devais me rendre à une conférence au centre culturel contemporain dans le quartier de la confluence à Lyon, pour prendre contact avec un client à lui. Jétais partie tôt pour prendre le train. Jétais vêtue dun costume deux pièces : une petite veste en tweed écossais noire et grise boutonnée sur le devant, sur un petit haut blanc, léger et dune jupe moulante relativement courte assortie à la veste. Je ne portais pas de bas, jétais chaussée descarpins noirs à talons.
A la sortie de la gare, je voulais prendre un taxi, lorsque deux agents de sécurité vinrent vers moi. Ils étaient tous les deux vêtus dune chemise grise, dune cravate et dun pantalon noir. Ils avaient un gilet sans manche ren, avec de multiples poches, des mitaines, des genouillères et avaient à leurs pieds des chaussures militaires noires. Tous les deux portaient une casquette sur la tête, une paire de lunettes de soleil, un insigne avec le logo « STPS » sur le torse et une arme à la ceinture.
Lhomme qui sadressa à moi était un quinquagénaire bien dégarni, trapu, large dépaule, sa grosse moustache cachait presque toute sa bouche. Celui qui prit ma valise, était probablement un trentenaire, un gars des îles daprès son accent créole, un géant de près dun mètre quatre-vingt-dix.
Madame de M
Nous avons ordre de vous protéger et de vous conduire auprès du responsable de la sécurité urbaine. Veuillez nous suivre sans discuter, sil vous plait. Montez dans notre véhicule, je vous prie.
Je neus même pas le temps de parler, javais peur, jétais surprise surtout et ne comprenais pas ce qui marrivait. Mais avec le métier de mon mari, javais lhabitude dêtre en présence des forces de lordre et quelques fois de garde du corps. Mais cette fois, cétait tout à fait différent, ces hommes ne faisaient pas partie de la police, ni de la gendarmerie, cela me semblait bizarre et surtout je sentais quils se faisaient menaçant. Pourtant courtoisement, ils minvitaient à monter dans une camionnette blindée. Le chauffeur était un homme proche de la retraite très rondouillard, habillé comme ses collègues, il avait les cheveux tout blancs, plaqués par un gel bon marché. Jeus un mouvement de recul, arrivée devant la porte arrière de leur véhicule, jétais prête à me retourner et menfuir mais le géant me prit par les hanches et me souleva comme une plume et me déposa dans lhabitacle sombre de la camionnette aux vitres noires teintées, où le petit trapu me mit des menottes en maccrochant au siège.
Là, les choses se gâtaient pour moi, jétais enlevée, nappée en plein jour dans une grande ville où personnes navaient dû sapercevoir de ce rapt. La peur et la panique sétaient emparées de moi. Je posais des questions mais aucun des deux assaillants assis à côté de moi de répondaient. La seule chose que mavait dit le plus vieux était : « de fermer ma gueule que personne ne pouvait mentendre » lorsque je métais mise à hurler. Nous avions roulé pendant une dizaine de minutes avant de nous engouffrer sous un porche qui menait dans une cour dun bâtiment vierge de toute indication. Le chauffeur porta ma valise pendant que les deux agents mencadraient pour pénétrer dans le hall dentrée dun immeuble où il ny avait aucune réceptionniste.
Nous avions emprunté un escalier menant dans un sous-sol, puis arrivés dans un couloir sombre. Les trois hommes de la sécurité ne furent pas très courtois envers moi mais ils ne mavaient fait aucun mal. Le moustachu ouvrit une porte sur sa gauche et me poussa à lintérieur. Le vieux posa délicatement mes affaires au fond puis sortit immédiatement sans dire un mot. La pièce était grande et très peu meublée, un vieux bureau métallique des années 80 se trouvait au milieu avec trois chaises autour. Les murs de droite et de gauche ne comportaient aucune ouverture, tandis que sur le mur du fond il y avait une porte en bois fermée et à côté une grande glace sans tain où il était impossible de voir qui se trouvait derrière.
Le grand black menleva les menottes pendant que le trapu aux larges épaules me dit :
Nous devons vous fouiller Madame de M
Nous allons vous dévêtir et vous mettre nue.
Jeus la confirmation de mon enlèvement, sans jamais trop y croire, pourtant : « Que me voulaient ces hommes ? » probablement me violer. Je reprenais un peu mes esprits, la peur était toujours présente mais la panique avait disparu malgré quils se préparassent à me dévêtir :
Mais qui êtes-vous bon sang ? Que me voulez-vous ? Vous navez pas le droit, cest une femme qui doit le faire.
Ici, Madame, sachez que nous avons tous les droits.
Pendant que Gustave le martiniquais me tenait, Serge le quinquagénaire menleva délicatement et avec un certain plaisir, lun après lautre, ma veste, mon petit haut laissant apparaitre ma poitrine libre de tout soutien-gorge. Je me laissais faire car les mains du géant me maintenaient et javais peur quil me fasse mal. Le moustachu posa délicatement mes affaires proprement sur le dossier dun vieux fauteuil au fond de la salle, probablement, dinterrogatoire. Puis finit le travail en menlevant tour à tour, ma jupe et ma petite culotte. Je me trouvais nues devant ces deux inconnus, javais honte, immobile, jétais tétanisée.
Gustave approcha une chaise devant le bureau et me fit massoir pendant que Serge me menotta les poignets et les attacha à un anneau sur le plateau supérieur du bureau. Les deux agents sortirent de la pièce sans dire quoique que ce soit. Jétais là, seule, je pleurais et jattendais. Cela mavait semblé durer une éternité, après quelques minutes que javais estimé à plus dun quart dheure, la porte souvrit, je tournai la tête et japerçus à ma grande surprise : Boris, qui souriait en me voyant ainsi. Je me sentis tout de suite rassurée, cétait une blague
Même si elle fut de mauvais goût, cela me permettait dêtre en sécurité et cétait bien là le principal.
Il se mit assis en face de moi et me dit :
Clémence, je te fais ce cadeau, je vais satisfaire un de tes fantasmes.
Lequel ? Boris libère-moi ! Pour lamour de Dieu dis-moi ce que tu veux.
Tu vas prendre du sperme partout cet après-midi, tu vas être baisée par des inconnus pendant que dautres inconnus vont te mater à travers cette vitre. Dit-il en montrant du doigt la glace sans tain.
Non ! Ce nest quun fantasme, je ne veux pas le réaliser de cette manière, tu nas pas le droit de mimposer cela. Je veux choisir mes partenaires. Tu es un monstre et qui tas parlé de cela ?
Boris se leva et vint vers moi, il me détacha, me pris dans ses bras et membrassa. Il me dit à loreille :
Fais-le pour moi Clémence, laisse-toi aller, je reste-là avec toi.
Non ! Il en est hors de question, libère-moi que je parte dici.
Soit ! Si tu le désires, je te laisse aller mais sache que ton mari, recommencera mais cette fois, je ne serai pas là. Tu seras violée par des vrais durs. Là, tu prendre un peu de plaisirs avec des hommes qui ne rechercherons que ton plaisir. Tu veux vraiment avoir mal ?
Jétais prise au piège, Pierre-Louis était derrière tout cela, il me donnait en pâture à des amis à lui, sans doute pour mhumilier une fois encore.
Non ! Mais reste là, si tu vois que ça tourne mal arrête tout.
Il me fit me mettre à genoux au milieu de la pièce, il me caressa les seins et embrassa mes tétons. La situation de mon enlèvement que javais vécu pour de faux mexcitait dorénavant, Boris avait sorti le grand jeu pour mon plaisir. Lorsquil me mit une petite claque sur les fesses en appelant « René », je nappréhendais plus, je commençais même à sentir du désir monter en moi. René était donc le plus vieux, il rentra dans la salle, entièrement nu, mes yeux se dirigèrent immédiatement sur lui, son ventre était énorme et tendu, ses poils pubiens étaient tout aussi blancs que sa chevelure et suffisamment longs pour dissimuler son petit sexe au repos. Par contre, il avait une grosse paire de testicules qui pendaient sur son entrejambe.
Il se présenta devant ma bouche en essayant de se masturber :
Fais-moi bander salope. Mordonna-t-il
Sans lui répondre, jattrapai ce petit morceau de viande et le mis sous mon nez, il sentait bon, il était propre, cela me rassura. Je commençai à lui tirer dessus en lui caressant les bourses. Son petit pénis grandissait sous mes doigts, je le pris en bouche et commença une savante fellation. Je ressentis très vite quil prenait de la grosseur mais en le ressortant, ses 11 cm en érection ne me firent pas peur, il durcissait mais nétait pas très impressionnant. Voyant le vieux en érection, Boris appela Serge et dit à René de prendre possession de ma vulve avec sa bouche. Il sallongea sous moi, me suçait le vagin pendant que javais devant moi la bonne bite de Serge. Celle-ci était dun bon calibre et aussi propre que son collègue mais avait une particularité, elle nétait pas droite, elle formait un arc de cercle. Il bandait déjà, il avait dû se masturber avant de pénétrer dans la pièce. Comme avec René je lui fis une pipe après quil me lait ordonné. La courbure de sa verge lempêchait daller profond, son gland tapais mon palais. Je mimpatientais, René de sa bouche me faisait mouiller, il avait une grande langue qui me léchait et ses doigts me fouillaient délicatement, cet homme ne me maltraitait pas, cétait tout le contraire, il était tendre et mexcitait vu son âge, il avait une certaine expérience.
Serge sortit dentre mes lèvres, il vint directement soccuper de ma poitrine, cela me donnait limpression que tout était préparé, ils jouaient leur rôle dans une pièce de théâtre porno. Le scénario dont jétais lactrice principale mavait très excitée, je ne pensais quà mon plaisir, je jouis une première fois dans la bouche de René. Pendant que Serge me tritura les seins, chacun à leur tour, me maltraitait les mamelons, jadorais ça. Ce qui me fit mouiller encore plus, javais le visage tourné vers la porte, lorsque Gustave rentra à son tour. Non seulement, cétait un géant, mais que dire de sa queue, au repos ?
Elle arrivait au milieu de sa cuisse, sa bite mesurait au moins 25 cm, voire bien plus, un vrai gourdin. Cela me fit peur mais en même temps, javais hâte de la voir de plus près, de le sentir. De mes deux mains, je lui soulevai son membre et mis que son gland dans ma bouche, il était bien trop gros et trop grand pour que je lavale entièrement. Je regrettais toutefois son manque de dureté de cet engin. Néanmoins, il était si lourd que Gustave était obligé de le prendre dune main pour le maintenir.
Le géant black mavait portée et allongée son le bureau, les jambes pendantes. Ce fut René qui ouvrit le bal, il se plaça entre mes cuisses et me pénétra dun coup, il mastiquait, je sentais à peine ses va et vient, mais son pouce sactivant sur mon clitoris et les quatre mains de mes deux agents de sécurité me malaxant les seins me firent prendre mon plaisir. Jéjaculai une deuxième fois en poussant un grand gémissement de bonheur.
Mes trois inconnus firent une tournante, ils échangèrent régulièrement leur poste tout en étant de plus en plus brutaux avec moi, ils ne me laissaient pas reprendre mon souffle. Le plus méchant fut Serge le moustachu, il me traitait de pute et mobligeait à répéter ces mots en me tordant les tétons ou en giflant fortement mes fesses. Il parlait avec Boris :
Regarde -moi cette pute, elle se fait prendre et elle mouille. Ta salope nest quune chienne.
Contente-toi de la baiser Serge, défonce là ! Elle aime ça.
Dis-le que tu aimes te faire baiser, sale pute. Mordonna Serge.
Je suis quune pute, jaime me faire baiser
Murmurais-je
Lorsque Serge avait pris possession de ma chatte, rapidement je pris un troisième orgasme, avec sa bite en arc de cercle, il avait trouvé le point sensible, le pincement de mes tétons que me faisait René entre ses dents et le gland de Gustave entre mes lèvres, me firent aller au septième ciel. Serge avait retiré sa queue tordue afin de me faire libérer le flux de jouissance. Je revenais à la réalité, javais devant les yeux le sexe de Gustave, je narrivais pas à lui enfiler le préservatif, sa queue était de la taille de mon avant-bras, la capote ne couvrant que le tiers de sa verge. Jappréhendais lorsque Gustave dit à son collègue :
Bon laisse-moi la place, vous avez dû faire le passage.
Heureusement, le martiniquais prit des précautions pour engager son énorme sexe dans ma petite vulve dilatée, petit à petit, il senfonçait en moi, la peur et lexcitation se mélangeant, mon désir de lavaler me faisait une nouvelle fois mouiller, dautant plus quen voyant Serge et René se masturbant au-dessus de ma poitrine me rendait folle de joie. Gustave navait pas entré toute la longueur, mais ses allées et venues dans mon ventre me faisait un bien fou et un orgasme foudroyant vint me transcender. Ils éjaculèrent tous les trois en même temps, je reçus le sperme de René et de Serge par longs jets sur mes seins tandis que Gustave se vidait sur mon pubis en continu. Aucun jet, aucune giclée, cétait un débit long et régulier qui sortait de son méat me couvrant le ventre et inondant tous les poils, pendant que ma jouissance coulait le long de mes cuisses.
Jétais épuisée, je venais de passer près dune heure à me faire baiser comme une chienne en chaleur. Boris se leva de sa chaise et jentendis la porte au fond de la salle souvrir, trois individus en sortirent, leur queue en érection à la main. Boris prit possession de ma bouche, pendant que les trois hommes vinrent autour de moi. Quelle surprise de les reconnaitre, la honte pour moi de voir Pierre-Louis mon mari, Hassan le consul du Maroc et Olivier le traiteur, qui nétait autre que le père de Boris. Ils menvoyèrent tour à tour leur sperme sur ma poitrine et sur tout le visage, jétais humiliée, les larmes plein les yeux de me sentir aussi sale, souillée, je navais jamais reçu autant de foutre sur ma peau. Malgré cela, jétais heureuse davoir vécu cela et espérais pouvoir un jour recommencer mais cette fois avec une triple pénétration.
Ils quittèrent tous la pièce me laissant couchée sur le bureau sans réaction. Seul mon époux était resté avec moi :
Tu vas aller prendre une douche, je te ramène à la maison. Tu vois ce que jai organisé pour te punir de mavoir trompé avec ce jeune pervers. La prochaine fois, si tu oses recommencer, tu seras violée et ce ne sera pas quun simple jeu. Tu nes quune salope mais tu mappartiens.
La suite de lhistoire dès jeudi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page.
Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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